ANTALYA- Le stage de préparation du syli national en Turquie a pris du plomb dans l’ail la semaine dernière. Les vieux démons pourtant révolus, ont refait surface. Nos oreilles ont bourdonné d’affaires de primes impayées et de non payement des frais d’hôtels.
Aussitôt, la délégation qui accompagne l’équipe nationale dans cette aventure juteuse, mais pour le moins infructueuse, s’est fendue de communiqués pour démentir ces informations qui ne font pas honneur au pays.
Chacun des membres de la délégation s’est précipité dans les médias pour battre en brèche ces rumeurs qui avaient fini par gagner l’attention de l’opinion.
Une chose reste claire, c’est que tout ne peut pas être faux. Des dispositions peuvent être prises en amont, comme c’est d’ailleurs le cas avec la gouvernance actuelle depuis près de 10 ans, mais on peut cependant pécher par l’amateurisme et l’envie d’avoir plein dans les poches qui peut notamment amener certains responsables à tirer les ficelles des polémiques qui sont nées. Sachant que les déplacements du syli entrainent la circulation d’importants cash-flows.
GUINEEFOOT.INFO