CONAKRY A peine mis en place, le CONOR marque de son empreinte son installation qui a eu lieu dans la foulée.
Sa décision concernant le choix de l’entraineur du syli national continue d’agiter l’opinion. Ce premier pas feutré d’une présidente du comité de normalisation a envie de tout câliner pendant sa gestion de la fédération guinéenne de Football, est révélateur d’un agenda, un tantinet étoffé ! Nous en parlerons à d’autres occasions.
Revenons-en au syli national.
Avec la bénédiction du département de tutelle, le ministère des sports, l’équipe de Madame Sy a décidé de confirmer Kaba Diawara, qui assurait jusqu’ici, l’intérim sur le banc du syli.
Ce n’est pas tout. On a aussi offert à l’ancien international Guinéen, pour sa toute première expérience en qualité d’entraineur titulaire, un contrat trop onéreux, qui reprend tous les avantages qui étaient accordés à son prédécesseur.
L’ancien joueur du PSG, en France, dont le coaching fait débat et divise l’opinion, est ainsi dispensé du naufrage de l’équipe nationale, lors des qualifications pour le mondial 2022.
Ce qui explique la colère de Didier Six, rendu en effet seul responsable de cet naufrage, alors qu’il n’a officié que deux matches lors de cette campagne.
Renvoyer tous les autres et maintenir Kaba Diawara, peut susciter des interrogations.
Par ailleurs, la nomination de Pascal Feindouno comme entraineur des attaquants, à cause de son vécu, fait rarissime, suscite aussi sans doute des commentaires.
Peut-être que tout ce maillage inattendu et inédit pourrait marcher et porter le syli au pinacle dans la compétition. Espérons-le !
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