Conakry-Il a été celui qui a fait voler en éclat une gestion jugée opaque au service d’un homme qui avait enfoui ses racines avec pour objectif d’écrabouiller toute contestation qui voudrait imposer cette orthodoxie nécessaire pour le fonctionnement de l’institution. Lui c’est Amadou Diaby, ancien vice-président de la Fédération Guinéenne de Football (FEGUIFOOT).
Il a cru à la noblesse de son combat en refusant tous les privilèges qu’il allait s’offrir s’il avait emprunté le chemin contraire à sa conviction.
Pour ces actes d’une si grande portée, les électeurs du futur congrès qui auront à choisir entre lui et Becken Diarra auraient déjà fait leur choix. C’est le plébiscite d’un homme qui incarne pour eux la fidélité à une conviction, la réussite dans les différents chantiers d’édification du football guinéen.
Cette vision qui l’habite rime parfaitement avec celle qu’incarne une autre personnalité, le mécène Antonio Souaré. Une convergence de points de vues et d’engagement qui fait du duo Antonio-Amadou un model naturel de dirigeants au sommet du football guinéen .
Le 28 février prochain, Amadou va de nouveau exulter avec un triomphe modeste comme ce fût le cas lors de son élection au poste de vice-président de la Feguifoot en 2015.
Mosaiqueguinée