CONAKRY – Le Hafia Football Club, comme tous les autres clubs de ligue 1, a repris les entraînements en vue de la nouvelle saison. Le championnat national version (2020-2021) va démarrer le 14 octobre prochain.

La Ligue guinéenne de football professionnel annonce la date du 14 octobre prochain pour le démarrage de la nouvelle saison. Les Vert et Blanc de Dixinn se préparent au centre technique de Nongo, à Conakry. L’entraineur du club, Pascal Baruxakis, travaille avec un effectif de 26 joueurs en attendant le reste du groupe.

« La préparation se passe bien, malgré que je n’ai pas tout l’effectif au complet, il y a des joueurs étrangers qui n’ont pas pu venir d’abord. Mais, ça se passe super bien avec les joueurs que j’ai sous la main »

Comment se passe l’intégration des nouvelles recrues, Latige, Kilé…?

« C’est des bons joueurs, ils connaissent bien le championnat et leur intégration se passe bien. Ils sont avec nous, Latige, on n’avait même des séances d’entraînement avec lui avant l’arrêt définitif de la saison dernière. Ils sont là depuis plusieurs mois, et ça va. »

L’équipe sera encore renforcée par d’autres joueurs, ou bien l’effectif que vous avez peut atteindre vos objectifs?

« Oui je pense que nous avons aujourd’hui un bon effectif, maintenant, c’est le Hafia Football. On va peut-être voir, les postes où nous allons recruter encore. Mais nous avons ce qu’il faut pour le moment, on va travailler avec groupe. On verra au fur et à mesure s’il y a besoin de se renforcer. Aujourd’hui, je suis satisfait du groupe, c’est à nous de bien travailler pour faire une bonne saison »

Votre objectif est de jouer le haut du tableau, vous êtes sûr d’y arriver ?

« Aujourd’hui le Hafia FC, c’est un grand club de ligue 1, on a les moyens pour atteindre nos objectifs. C’est vrai le Horoya, l’ASK, le CIK, c’est de bonnes équipes. Et c’est bien pour le championnat, nous, on n’a pas peur. Même la saison dernière, si le COVID-19 n’empêchait pas la suite du championnat, on allait terminer au haut du tableau. »

Propos recueillis par BAGOU BARRY